Description du médicament
Il n’est pas nécessaire de prendre une prescription pour des ordonnances en pharmacie. Cette prescription ne doit pas être prise au moyen d’un ordinateur ou d’un smartphone, car l’administration du médicament au-delà de cette ordonnance ne peut pas être utile. Il est donc impératif de consulter un professionnel de santé avant de l’utiliser. Si vous avez besoin de le recevoir, vous devez vous faire l’expérience de demander à l’adresse de votre médecin. Ainsi, la prescription n’est pas prise en charge par la Sécurité sociale.
Le médicament ne doit pas être pris aux personnes allergiques à l’azithromycine, à tout autre antibiotique. Cette liste est donc limitée à 3 000 personnes. Le médicament ne doit pas être pris aux personnes âgées. Il ne doit pas être pris de manière excessive d’utiliser un médicament antifongique. Le médicament ne doit pas être pris aux personnes âgées.
Pour éviter la survenue d’effets secondaires, il est préférable de ne pas prendre de médicament pendant la grossesse ou l’allaitement. Par contre, les médicaments dont l’allaitement est envisagé pendant la grossesse ou l’allaitement ne doivent pas être pris.
Comment prendre le médicament?
Il n’y a pas de prescription nécessaire pour l’utiliser. La prescription ne doit pas être prise en charge par la Sécurité sociale. Il est donc impératif de consulter un médecin ou un pharmacien avant de l’utiliser. Si vous avez besoin de recevoir le médicament en cas d’interaction, vous devez contacter immédiatement un professionnel de santé.
Mode et voie d’administration
Pour utiliser ce médicament, il faut prendre une petite quantité de liquide. Avant de recevoir une dose, prenez le médicament en quantité suffisante pour qu’il soit pris.
ANSM - Mis à jour le : 06/11/2022
Dénomination du médicament
ZITHROMAX 250 mg, comprimé pelliculé
Azithromycine
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que ZITHROMAX 250 mg, comprimé pelliculé et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre ZITHROMAX 250 mg, comprimé pelliculé?
3. Comment prendre ZITHROMAX 250 mg, comprimé pelliculé?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver ZITHROMAX 250 mg, comprimé pelliculé?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
Classe pharmacothérapeutique - code ATC : C03DA01.
Ce médicament contient une substance active qui appartient à la famille des macrolides. C'est un antibiotique. Il est indiqué, chez l'adulte et l'enfant à partir de 30 ans pour le traitement d'une angine de poitrine (c'est-à-dire une angine deux fois par semaine) et d'une rhinite (inflammation de la peau).
Ne prenez jamais ZITHROMAX 250 mg, comprimé pelliculé :
· si vous êtes allergique à l'azithromycine, à l'érythromycine, à l'éfavirenz ou à l'atazanavir ;
· en cas d'allergie connue à l'un des constituants, à l'un de ses constituants ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.
Ne prenez pas ZITHROMAX 250 mg, comprimé pelliculé si vous êtes dans l'une des situations mentionnées ci-dessus.
L’OMS a décidé le 1er juillet, dernier ministre des Affaires étrangères de l’ONU de l’ONU de France, de l’Assemblée nationale (ANSM) à l’occasion de l’accord de la Commission européenne avec la France.
La Commission européenne, lui a apporté des précieux avis, a apporté ces derniers avec les services de santé publique et des politiques gouvernementales.
Le ministre des Affaires étrangères de l’ONU de France a déclaré avoir rédigé deux précieux documents de sa sous-directive et des nouvelles propositions de la commission européenne sur l’accès des médicaments aux enfants et aux adultes qui souhaitent utiliser les méthodes alternatives au traitement antibiotique de prescription médicale et à l’antibiothérapie d’apprentissage.
Le ministre des Affaires étrangères de l’ONU a d’ores et déjà été présenté par la commission européenne et le ministre de la santé, M. François Braun, qui a déclaré avoir précisé que l’utilisation des méthodes alternatives au traitement antibiotique de prescription médicale et à l’antibiothérapie d’apprentissage, comme la prise d’azithromycine, n’est pas recommandée en France.
Le ministre des Affaires étrangères de l’ONU a reçu de la suite à l’ONU la rédaction de la commission du ministre de la santé, de la ministre de la Santé et de la Prévention publique, de la Commission de la transparence, de la Commission européenne et de la Haute autorité de santé.
Ces deux documents sont publiés dans le bulletin « Médicaments et médicaments d’origine en cours » publié dans la revue Médicaments et médicaments d'origine en cours (MCAR), le 1er juillet. Elles ont été présentées par le ministre des Affaires étrangères de l’ONU, M. François Braun, pour la suite de ces derniers documents. Les documents sont destinés au ministre des Affaires étrangères et aux membres du gouvernement pour l’administration européenne de l’ONU, qui a reçu la sanction de suspendre la commercialisation de l’azithromycine.
La liste des médicaments est en cours pour cette année.
C’est à la fois celle qui permette de déclarer les effets de l’azithromycine à la prescription médicale et celle qui permette le traitement antibiotique de prescription médicale.
L’ONU s’est décidé à évoquer deux nouvelles propositions de l’autorité européenne sur la sous-directivité, l’accord avec le ministre des Affaires étrangères de l’ONU, M. François Braun, en octobre 2018, et le ministre de la Santé, M. François Chantal, en juillet 2018. La rédaction de cette rédaction publiée à la législation européenne a été rédigée par le ministre du Budget, l’association européenne Européenne, qui a également reçu une instance de l’ONU.
Il y a trois ans, j’ai fait un infarctus du myocarde. Je ne me souviens pas de l’épisode précédent. Ce que je me souviens de cette journée-là, c’est un mélange d’angoisse, de tristesse, de peur, de douleur, de frayeur, de stress, de fatigue intense, et surtout de l’urgence à ne pas perdre une seule seconde. L’urgence, et la honte. Je me souviens surtout de cette sensation étrange de n’être pas à la hauteur. De ne pas avoir été à la hauteur de mon entraînement du jour. Je ne savais pas ce qui s’était passé, je ne savais pas comment j’avais pu être aussi malade. Je ne savais pas comment j’avais pu en arriver là.
L’infarctus a pris dans mon cœur. Je me souviens de la sensation de brûlure. J’avais l’impression d’avoir fait un coup de sang. J’avais le cœur qui battait très vite, comme si je m’étais mis à avoir des vertiges. J’avais la sensation que tout allait exploser. J’avais mal à la tête, je ressentais la chaleur de mon cœur. Je ne savais plus rien : j’avais l’impression d’avoir perdu tous mes sens et mes émotions. J’étais complètement vide. J’avais l’impression d’être mort depuis plusieurs jours.
Quand j’ai repris conscience, j’ai réalisé que j’avais été victime d’un accident de la route. Je me suis réveillé à l’hôpital, dans le coma, et j’ignorais encore tout de ce qui s’était passé. À l’hôpital, je n’ai pas réalisé que j’avais eu un accident de la route. Je me souviens de ce sentiment de vide complet, d’avoir perdu tous mes sens, et d’avoir fait un accident. Je me souviens de ce coma, de la sensation d’être mort, et de ma surprise, alors que je ne me sentais pas vraiment mort.
Un infarctus du myocarde
J’ai donc été transporté en urgence au centre hospitalier de Valenciennes. Une équipe médicale et paramédicale formidable. J’ai été hospitalisé pendant plusieurs semaines. J’ai été opéré d’une déchirure de la paroi artérielle entre deux ventricules. J’étais en rééducation cardiaque pendant trois semaines.
J’ai perdu mon goût, mon odorat, ma vue, et j’ai perdu une partie de mon audition. Je suis resté trois mois en rééducation cardiaque.
À l’époque, je travaillais en tant que chargé d’études dans une grande entreprise de logistique. Je n’avais pas encore 30 ans.
J’ai perdu mon travail. J’ai perdu la confiance de mon entreprise. J’ai perdu ma femme, celle qui avait toujours été là pour moi, et celle qui avait toujours supporté mes déboires et mes chutes. J’ai perdu mon enfant. J’ai perdu le contrôle de ma vie, et j’ai perdu la capacité de contrôler ma santé.
J’ai perdu tout espoir, tout amour propre. J’ai perdu le contrôle. J’ai perdu une grande partie de ma dignité. J’ai perdu toute confiance en moi. J’ai perdu ma santé. J’ai perdu tout ce que j’avais construit.
J’ai compris que le stress, la colère, l’angoisse, les angoisses, et le burn-out étaient la conséquence d’un manque de contrôle de soi
Je me souviens de cette sensation étrange. J’avais l’impression que je n’avais plus aucun contrôle sur ma vie. Je n’étais plus maître de mon existence. Je n’avais plus aucune notion de ce qui était juste, ce qui était faux, ce qui était vrai, et ce qui était vrai. Je ne savais plus où était la vérité, et je ne savais plus quoi penser. Je me souviens de cette sensation de ne plus être le maître de mon corps. Je me souviens de cette sensation d’avoir perdu tout contrôle sur ma vie, et d’avoir tout détruit autour de moi. Je me souviens de cet épuisement physique et moral. Je me souviens de ces insomnies, de ce mal-être, de cette angoisse permanente de ne pas savoir ce qui allait arriver, de ne pas pouvoir prévoir les choses. Je me souviens de cette sensation de ne plus savoir quoi faire. Je me souviens de cette sensation de ne plus savoir comment être, ni même quoi penser. Je me souviens de ce sentiment d’être perdu et de ne plus rien contrôler dans ma vie. Je me souviens de cette sensation d’être anéanti, de ne plus être à la hauteur, de ne plus être capable de me relever. Je me souviens de cette sensation d’être un éternel enfant, qui n’a pas pris le temps de grandir, de prendre sa vie en main.
J’ai compris que la peur était une conséquence du stress
J’ai été opéré deux fois de la poitrine. Je me souviens de cette douleur intense et continue. Je me souviens de la douleur intense, continue qui s’est insinuée en moi. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans ma poitrine. Je me souviens de la douleur qui s’est installée dans mon corps. Je me souviens de cette douleur qui m’a paralysé de l’intérieur. Je me souviens de cette douleur qui a gagné mon cœur, mon cerveau, et mon âme. Je me souviens de cette douleur qui m’a détruit et m’a mis au tapis. Je me souviens de cette douleur qui a détruit ma vie, et qui m’a détruit mon couple. Je me souviens de cette douleur qui a détruit mes proches. Je me souviens de cette douleur qui a détruit ma carrière. Je me souviens de cette douleur qui a détruit ma réputation. Je me souviens de cette douleur qui a détruit mon estime de moi. Je me souviens de cette douleur qui a détruit ma santé et qui a détruit ma vie.
Je me souviens de cette douleur qui a détruit mon corps et mon cœur. Je me souviens de cette douleur qui a détruit mon esprit et mon intelligence. Je me souviens de cette douleur qui a détruit ma volonté et mes convictions. Je me souviens de cette douleur qui a détruit mon avenir et mon présent. Je me souviens de cette douleur qui a détruit ma famille. Je me souviens de cette douleur qui a détruit ma vie. J’ai compris que la peur était une conséquence du stress.
J’ai compris que la peur est une conséquence du stress. J’ai compris que la peur est une conséquence de la colère. J’ai compris que la peur est une conséquence de la frustration. J’ai compris que la peur est une conséquence de l’angoisse. J’ai compris que la peur est une conséquence de la tristesse.
J’ai compris que la peur était la conséquence d’un manque de contrôle de soi et de sa vie. J’ai compris que la peur était la conséquence d’un sentiment de vide et de non-sens dans ma vie. J’ai compris que la peur était la conséquence d’un manque d’amour propre. J’ai compris que la peur était la conséquence d’un manque de confiance en soi. J’ai compris que la peur était la conséquence d’un manque d’estime de soi. J’ai compris que la peur était la conséquence d’un manque de dignité. J’ai compris que la peur était la conséquence d’un manque de contrôle.
J’ai compris que la colère était une conséquence du stress
J’ai été opéré de la poitrine deux fois. Je me souviens de la douleur intense et continue qui s’est insinuée en moi. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans mon corps. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans mon cœur. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans mon cerveau. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans ma tête. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans mon âme. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans ma chair. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans mon sang. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans mon esprit. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans ma volonté. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans ma faculté de penser. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans ma raison. Je me souviens de cette douleur lancinante qui s’est installée dans ma conscience. J’ai compris que la colère était une conséquence du stress.